Compte-gouttes

J’ai présenté cette activité de Vie Pratique aujourd’hui. C’est tout simple à réaliser. Il faut trouver un compte-gouttes et un porte-savon à ventouses. Sur le plateau, il faut également un récipient avec de l’eau (colorée, c’est plus joli), une éponge et un chiffon.

Sensoriel, encore!

Vendredi, après la grande séance avec la Tour Rose et l’Escalier Marron, j’ai présenté à Clémence les tablettes baryques. Elle a tout de suite voulu le faire avec le masque et elle était dans un état de grande réceptivité sensorielle qui lui a permis de réussir l’exercice sans problème. 

Une fois la présentation finie, elle m’a demandé les tablettes thermiques sur lesquelles elle lorgne depuis longtemps. Vu son attention, j’ai accepté. L’exercice lui plaît beaucoup même si elle a besoin de le travailler.

Aujourd’hui, après la botanique, elle s’est précipitée sur ses 2 nouveaux exercices sensoriels.

On continue la botanique

Samedi, en allant à la bibliothèque, Clémence a ramassé de grosses fleurs de camélia et de rhododendron tombées à terre. Nous les avons utilisées cet après-midi comme support concret de la leçon de botanique sur le fleur. Ensuite, j’ai sorti le livret et le puzzle.

Le Sensoriel revient en force

Après la dure séance de ce matin, je me demandais comment allait se passer l’après-midi avec Clémence. Elle avait terminé toutes les activités de son programme de la semaine. Donc elle était totalement libre de ses choix.

A ma grande surprise, elle a choisi la Tour Rose qu’elle n’avait pas touchée depuis bien longtemps. Dans un premier temps, elle a travaillé avec les cartes.

Il y a de ces matinées pénibles...

Eh oui, comme l’écrit si bien Julie sur son blog, tout n’est pas toujours rose et parfait au pays de l’école à la maison, même en Montessori!

Ce matin, j’ai terminé la séance de travail avec les nerfs en pelotes. Pourtant, avant de commencer, j’étais contente: les filles et moi étions prêtes à travailler à 9h30 et elles avaient l’air d’avoir envie d’aller en classe.

Pauline a enchaîné les activités, mais laissait tout en plan dès qu’elle passait à autre chose. Il fallait sans cesse trouver un moyen de lui rappeler qu’il fallait ranger sans interrompre son élan vers la nouvelle activité. Et surtout veiller à ce qu’elle ne tente pas de prendre une activité pas encore présentée...

La pâte à tarte

Nous recevions Kikabeille aujourd’hui. La séance de travail en commun ne fut pas des plus productives, mais Clémence a bien apprécié de faire la pâte de la tarte, toute seule comme une grande. 

Les blocs des cylindres

Ce matin, pendant la petite séance de travail, je vois Pauline prendre le 1er bloc des cylindres. Elle a déjà vu sa soeur travailler avec et avait un peu exploré le matériel lors d’une séance avec Kikabeille où je l’avais descendu au salon.

Je ne l’empêche pas de le prendre et j’observe: elle place le bloc sur la table et enlève méthodiquement chaque cylindre qu’elle place dans l’ordre devant elle puis les remet en place. Quand elle a terminé, elle me regarde et me demande: “Maman, montrer!”

Boite à mots

J’ai débuté hier cette activité avec une boite d’allumettes, et puis j’ai trouvé ce matin cette jolie boîte en métal “miss Blabla” que j’ai trouvée parfaitement appropriée pour la “boîte à mots” d’une petite fille. Inutile de préciser que Clémence a sauté d joie quand elle l’a vue...

Et l’activité, me direz-vous, en quoi consiste-t-elle? A aider l’enfant à progresser dans la lecture en lui proposant chaque jour 3 ou 4 mots sur des petits billets. Les mots désignent des objets de l’environnement et l’enfant doit aller les placer sur l’objet correspondant.

La table de Pythagore avance!

La semaine dernière, Clémence avait juste ajouté la famille violette. Aujourd’hui, la voilà prise d’inspiration: après les blancs, elle a voulu placer les marron. Elle était sur le point de faire les bleu foncé aussi, mais elle s’est finalement arrêtée là.

A chaque fois, elle s’extasiait sur le fait qu’elle avait formé un nouveau carré “immense!”

Association quantités/symboles

Maintenant que Clémence maîtrise les perles dans la banque et le tableau des symboles, il était temps de passer à l’association des 2.

La semaine de Pauline

Pauline s’approche de ses 2 ans et mène tranquillement son petit bonhomme de chemin. Son langage devient plus riche et plus précis. Elle acquiert chaque jour un peu plus d’autonomie, notamment dans l’habillage. Là voilà qui se prépare à aller au jardin.

Premier livre

Clémence sait déchiffrer et elle aimerait bien lire. Le problème, c’est qu’elle n’a pas encore acquis tous les graphèmes complexes qui permettent de lire sans problème. Son déchiffrage est également un peu lent. Du coup, si elle essaye de lire dans les livres que nous lisons ensemble, elle est perdue, elle se décourage.

Bien sûr, nous travaillons à rendre sa lecture plus experte: dictées muettes, cartes de nomenclature, association de billets avec des objets de la classe permettent de travailler la lecture du mot. La boite des phonèmes l’aide à mémoriser les graphèmes...

Tableau des symboles

Le travail de la numération avance à grand pas! Après avoir abordé les quantités en perles, Clémence a travaillé en parallèle sur les symboles 1 - 10 - 100 - 1000. Quand elle a découvert avec les perles comment passer d’une quantité à l’autre, je lui ai fait remarquer et mémoriser le nombre de zéros de chacun des symboles.

Botanique

Aujourd’hui, nous avons débuté l’étude de la botanique. 

Pour commencer, rien que de très simple: nous étudions la plante et plus spécifiquement l’arbre. Bien sûr, il y les cartes et les frises, mais d’abord, il faut partir du concret (sinon, on n’est plus dans Montessori): je commence donc par amener la plante de la classe sur la table de présentation et je fais parler Clémence. Je lui demande ce qu’elle sait sur cette plante, j’essaye de lui faire nommer chacune de ses parties et j’ajoute les informations qu’elle ne connaît pas.

Dictées muettes

On ne peut pas dire que Clémence me les réclame particulièrement, mais depuis que nous avons changé d’alphabet mobile, il y a une spectaculaire différence. Tant que nous n’avions que le grand alphabet, je me heurtais à un refus total de ces fameuses dictées. Maintenant, c’est moi qui les propose, mais Clémence accepte de les faire et ne traîne pas dessus. Il y a donc un sacré progrès!

Une vache, la vache

Celles qui font la formation chez Yvette aurons deviné de quoi je veux parler aujourd’hui! Il s’agit d’une présentation de grammaire destinée à faire comprendre l’utilisation des articles définis et indéfinis. On peut la proposer avant même que l’enfant lise. D’ailleurs, je l’avais fait il y a un mois environ. Je l’ai refaite aujourd’hui avec les billets de lecture, d’une part parce que je voulais faire lire Clémence et ensuite pour aller un peu plus loin avec elle.

Pour commencer, il faut un plateau avec des animaux en plusieurs exemplaires et en un seul exemplaire. Voilà ce que j’avais fait aujourd’hui, mais pour une première présentation, 5 porcelets, 3 vaches et 1 cheval sont amplement suffisants.

Oh! Les beaux jours!

Mars, en ce moment, nous amène ses promesses de printemps: lorsque le brouillard matinal se dissipe, nous avons de superbes matinées ensoleillées alors que la fin d’après-midi est un peu plus terne. Nous en profitons donc pour sortir le matin: observer les bourgeons, faire du vélo et reprendre le travail du potager.

Ce matin, nous avons planté un cassis et un groseillier que les filles se sont fait un plaisir d’arroser.

Ballerines au travail

Aujourd’hui, c’était le jour de visite de Kikabeille.

Quand elle est arrivée, la tarte aux pommes finissait de cuire dans le four et nous somme donc restées un moment au salon avant de monter. Clémence en a profité pour mettre de la musique classique et a commencé à danser. Kikabeille n’a pas tardé à la rejoindre et nous avons assisté, sa maman et moi, a un ballet improvisé...

Minutie, système décimal et écriture

Aujourd’hui, Clémence nous a fait une séance de travail d’anthologie!

En entrant dans la classe, elle a commencé par annoncer sur un ton décidé: “Et si je faisais la table de Pythagore?” (une des activités de la semaine).

Et ni une, ni deux, elle s’est mise au travail. Elle envisageait de s’arrêter après la “famille rose”, mais je l’ai gentiment incitée à aller plus loin que la dernière fois, donc à faire aussi les jaunes, et peut-être même les bleu clair... Elle y est finalement arrivée et nous avons transféré la table sur une grande planche 60 X 60 cm afin que la prochaine fois, elle puisse continuer la table là où elle l’a laissée.

Chacun pour soi

Pauline s’étant réveillée tôt de la sieste, elle est montée dans la classe le temps que Clémence ait fini ses activités. Pendant un moment, les 2 filles étaient installées chacune sur leur tapis, absorbées par leur activité, s’ignorant totalement et dans un calme total. Ça n’a pas duré bien longtemps, mais que c’est agréable!

Planification de la semaine

Jusqu’à présent, selon les moments, l’inspiration, la bonne volonté de Clémence, je travaillais on non en utilisant les étiquettes d’activités. Par périodes, quand je sentais Clémence un peu “à court d’idées”, je sortais les étiquettes des activités que j’estimais devoir être travaillées en priorité et lui proposais d’en choisir une dans chaque catégorie (vie pratique, vie sensorielle, langage, mathématique et éventuellement culture.). Mais cela n’étais pas systématique.

Aujourd’hui, j’ai inauguré un nouveau système: j’ai sorti une quinzaine d’activités que j’ai montrées à Clémence. Je lui ai expliqué que je voulais qu’elle fasse ces activités au moins une fois dans la semaine. A elle de choisir le moment de la semaine et le nombre d’activités chaque jour.

Les étiquettes sont dans une boite. Au fur et à mesure que les activités sont faites, elles sont retirées da la boite. A la fin de la semaine, la boite doit être vide.

Clémence a eu l’air de bien comprendre et d’adhérer au projet. Elle s’est tout de suite choisi 4 activités et s’est mise au travail, alternant les activités du planning avec d’autres, librement choisies.

Même si les activités de la semaine sont imposées, il reste tout de même une latitude suffisante. En tout cas, aujourd’hui, j’ai eu l’impression que les activités avaient été véritablement choisies car elle y  a travaillé avec coeur. Espérons qu’il en sera de même les autres jours...

Les formes de la terre et de l'eau - suite

Après un moment à modeler la terre, Clémence s’est penchée sur les formes que j’avais re-sorties. Elle a pris plaisir à remettre les arbres et les bateaux. Je lui ai demandé de me montrer l’île, le lac, le détroit, l’isthme, la péninsule et le golfe. Elle se souvenait bien du vocabulaire.

La terre et l'eau

Il y avait 5 enfants à la maison aujourd’hui: Clémence et Pauline, mais aussi Paco et Ornett ainsi que Kikabeille. Comme Paco a eu 4 ans mardi, nous avons commencé par faire un gâteau au chocolat. Ma recette ne permettait pas aux enfants de beaucoup participer, mais ils se sont rattrapés en léchant consciencieusement les plats!

Ensuite (pendant la sieste de Pauline), nous sommes montés dans la classe et j’ai présenté aux 4 grands “les formes de la terre et de l’eau”.

J’ai recommencé par remontrer le globe rugueux, re-situer la terre et l’eau puis j’ai fait remarquer les “dessins” qu’ils formaient. j’ai expliqué que nous allions en étudier quelques uns.

L'intelligence de la main

La classe reprend tranquillement. Clémence a l’air heureuse de travailler, prend spontanément des activités, ne rechigne pas quand je lui en propose une. Bref, nous traversons des moments agréables.

Aujourd’hui, elle a essayé de faire une dictée muette avec le petit alphabet. Le travail a été vite fait et dans la bonne humeur. “Je veux toujours travailler avec celui-là. Je ne veux plus jamais utiliser l’autre!” a-t-elle dit en conclusion.

Le petit alphabet mobile

J’avais remarqué depuis quelques temps que Clémence rechignait à écrire avec le grand alphabet mobile. Décomposer un mot oralement, essayer d’écrire avec un crayon, d’accord, mais composer avec le grand alphabet, c’était le refus total.

1 - 10 - 100 - 1 000

Clémence était impatiente d’aller dans la classe. Elle savait qu’aujourd’hui, j’allais lui présenter les perles dorées.